Après la journée d’hier passée à marcher sous le soleil, on a décidé d’y aller mollo, donc aujourd’hui, c’est une journée farniente sous le soleil et sur la plage.
On sort juste un peu de notre torpeur sur les coups de 18h30, quand Hoang Liên vient nous chercher : Camille et Daniel donnent un petit concert dans le restaurant-bar du bord de plage où elle a ses habitudes et surtout où elle fait du kite surf.
Pour compenser notre flémitude globale qui nous a prise dès que nous sommes arrivés, on a décidé de bouger un peu, en visitant les villes alentour.
Le problème de Pozzallo, c’est que des villes, aux alentours, il n’y en a pas beaucoup, en tous cas pas qui vaillent que l’on aille les visiter.
C’est bien simple, aujourd’hui a été encore moins productive qu’hier, si c’était seulement possible.
Non seulement, on n’est pas du tout sorti, sauf pour aller à la plage, mais en plus, on est tous restés manger à la maison. Dang (prononcé Yang ou Zang, ça dépend de la région du Vietnam), en vraie mamie typique, avait préparé du porc au caramel, mais elle trouvait que le riz n’était pas très bon, donc il a été changé par de la semoule… C’est assez rare de manger du couscous au porc, mais c’est très bon aussi.
Aujourd’hui, on a décidé de se reposer et de surtout ne pas en faire trop… On se lève donc sur les coups de 10h, et on commence à profiter de la vue de la villa, qu’il était difficile de faire en pleine nuit à notre arrivée : le jardin de la maison donne directement sur la plage, et on n’a que quelques mètres à faire pour poser sa serviette et partir se baigner.
Ça y est, enfin les vacances ! Je sais, je n’ai toujours pas fini de narrer celles de Californie, mais il y a beaucoup à raconter, j’ai pris un peu de retard, et j’ai eu pas mal de choses à gérer en urgence directement à notre retour, donc l’écriture s’est un peu faite mettre au second plan…