C’est assez marrant, cher journal, de constater le nombre phénoménal de traces que l’on peut laisser sur la Toile.
C’est en récupérant près de 5 ans de mails que je me suis rendu compte de la chose de manière assez brutale.
Essayant d’appliquer la méthode GTD, ou tout du moins de commencer à gérer mes boîtes de réception en les dépilant, triant et supprimant ce qu’il convient, je me retrouve à classer de vieux mails dans 50 sous-répertoires différents.
Il y a fort longtemps, vivait sur une machine un serveur IMAP. Dessus s’étaient accrochés des scripts immondes permettant de gérer difficilement du tri de mail.
Las, tout boursouflé, ses excroissances le firent s’étouffer et il périt peu glorieusement des suites d’une coupure de courant malheureuse.
Aujourd’hui, alors que je lisais de la documentation au travail, je me suis enfin rendu compte du détail qui me pousse tantôt à dire qu’un document est intéressant, et tantôt qu’il est totalement inutile.
Ce détail, cette chose insignifiante, c’est simplement ça : « il suffit de.
Hé oui, voilà, je ressors d’un week-end chargé sur bien des plans. Le principal étant que l’on vient de clore plus d’un an et demi de travail sur le Mariage de Figaro en jouant la première (et une seconde aussi le dimanche après-midi) à la salle Marguerite Duras de la résidence universitaire Jean Zay, à Antony.
J’ai trop de choses à faire… Et pas assez de temps pour les faire toutes. C’est bien dommage, mais je ne préférerai pas l’inverse pour autant…